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evelinemankou

VIP-Blog de evelinemankou
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  • Créé le : 27/12/2009 08:24
    Modifié : 09/11/2017 12:08

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    L'Instinct de survie

    02/11/2012 18:04

    L'Instinct de survie


    L’émergence de la narration chez Eveline Mankou Ntsimba

     

    Visibilité

    Eveline Mankou a écrit 4 romans que les lecteurs apprendront à découvrir au moment opportun. Pour l’heure, pour se distinguer dans l’immense foule des écrivains anonymes, E. Mankou explore les réseaux sociaux très puissants et peu onéreux quand on veut quitter l’ombre pour la lumière.

    Charité bien ordonnée commençant par soi-même, il ne se passe pas un salon, un colloque, une émission de radio sans que E. Mankou ne saisisse l’opportunité de s’y rendre pour gagner en visibilité.

    Comité de lecture

    Reste que le jeu arbitraire des lobbies de l’édition donne du fil à retordre aux jeunes auteurs chaque fois confrontés au syndrome de Marcel Proust. On sait que « A la recherche du temps perdu  » fut refusé par un comité de lecture qui comptait en son sein un certain André Gide. Combien de chefs-d’œuvre seront jetés à la poubelle parce qu’une simple ponctuation mal mise aura rendu furieux un jury et privé le public d’une occasion de s’enrichir l’esprit.

    Quand on parcourt l’œuvre d’Eveline Mankou, on voit que dans la vie, la persévérance est une béquille qui peut porter jusqu’au seuil de l’excellence. « Son œuvre » dira la critique Lina Badila dans une note de lecture, « gagne de plus en plus en maturité. » Pourtant Dieu sait combien les débuts furent laborieux. « Désormais j’ai compris les codes de l’écriture. Je n’ai plus droit à l’erreur » avoue l’auteure qui doit aussi une fière chandelle à la romancière Liss Kihindou, l’une de ses premières critiques. Eveline ne se contente pas d’écrire, elle crie, creuse, croie, croit en tout, croise tout le monde (y compris Jean-Luc Mélenchon), ne crache sur rien, ne crane point, ne craint rien.

     

    Ouvrages

         (1°) « Patience d’une femme» - (2°)« Misère humaine» - (3°)« Dialogue imaginaire et imagé entre la mère et fœtus » - (4°)« Instinct de survie » (paru ce 1er novembre 2012)- 5° « Danseur de l’ombre ».  (à paraître).

     Dans « Patience d’une femme », sa première œuvre, le matériau de l’écriture est puisé dans ses douloureuses expériences de jeune fille immigrée empêtrée dans un mariage interculturel où son conjoint européen la soupçonne de l’avoir épousé pour avoir ses papiers. Dans « Misère humaine  », la condition d’immigrée de l’auteure continue de dominer l’œuvre. C’est ce qui a fait dire aux premiers critiques que son système de narration avait du mal à se libérer du carcan « autobiographique ». Au bout du compte, l’auteure commence à prendre une relative distance avec son propre vécu dans « Dialogue imaginaire et imagé avec un fœtus ». La rupture devient radicale avec « Instinct de survie  » (bientôt en librairie) où l’auteure fait carrément preuve d’œuvre d’imagination. Dans «  Danseur de l’ombre » Eveline Mankou s’aventure davantage dans la création romanesque, domaine où, quelque part, l’homme en donnant forme à des personnages imaginaires se fait l’égal de Dieu le Créateur. Grâce à cette puissance quasi divine E. Mankou peut désormais se prévaloir du titre d’auteure à part entière et, pourquoi pas, plus tard, entièrement à part.

    Le fantasmatique

    Bien que désormais campée dans la fiction, il reste qu’Eveline Mankou dont le cerveau a été alimenté, enfant, par les mythes et légendes du Bassin du Congo, puise dans ce magma ad ’hoc les briques qui lui permettent de construire son univers romanesque.

    Alors qu’elle nous a habitué à une narration logique, brusquement, sans transition, les canons du rationnel sautent, le fantasque est carrément convoqué pour servir et valoir ce que de droit quant à son intrusion dans le monde de l’étrange. Ce changement devient opératoire dans « Dialogue imaginaire et imagé avec un fœtus  » dont l’intrigue se base sur un incroyable échange intellectuel : un enfant qui n’est pas encore né en train de faire une leçon de morale à sa mère sur le monde où il est en voie d’être accouché. Le changement de registre surprend dans la mesure où E. Mankou coiffe le chapeau de magicien, elle qui se bornait de copier le réalisme matérialiste en vogue dans la littérature ambiante. On aurait dit Gogol avec son Nez ou André Boulgakov avec son « Maître et Marguerite  ». Dans « Instinct de survie » Eveline Mankou s’attaque à un tabou en Afrique : l’albinisme, phénomène entouré de fantasmes et dont la sorcellerie s’est emparée comme objet d’investissement magique.

    Formation

    Dire que la métaphysique des contes écoutés au « mbongui » (foyer clanique) influence l’écriture de la romancière n’a rien ici d’original. C’est même inventer le fil à couper du beurre que d’avancer pareille hypothèse dans le cadre de la critique littéraire.

    Alain Mabanckou a convaincu le jury Renaudot avec un roman «  Mémoires d’un porc-épic » élaboré suivant ce système narratif du conte où le merveilleux le dispute au rationnel. C’est dire combien suivre cette piste-là peut s’avérer payant du point de vue de la distinction. Eveline Mankou peut désormais jouer dans la cour des Goliath de la trempe de Jean Malonga, Tchicaya U’Tam’si, Létémbey Ambilly, Sony Labou Tan’si, Alain Mabanckou, Marie-Léontine Tchibinda, Marie-Noëlle Bizi-Bazouma, Sylvie Bokoko, Marie-Louise Abia ; autant d’écrivains dont elle est la compatriote.

    Motivations

    Eveline Mankou est venue à l’écriture aussi bien par accident culturel que par amour des belles lettres, autant dire que tout chemin mène au quartier latin pour peu qu’on aime rimer avec les vers.

    Après une enfance à Brazzaville, pays de Sony Labou Tan’Si, et une scolarité à Abidjan (pays d’Hamadou Kourouma) rien ne prédispose notre auteure au jeu intellectuel de la création romanesque. Enfant elle eut du mal à lire « Les versets sataniques » de Salman Rushdie qu’un beau-frère conservait dans sa bibliothèque. « Trop obscur pour moi  » avoue-t-elle. Ensuite, elle fit sienne cette proposition : pour bien écrire, il faut écrire. Mieux : pour bien écrire, il faut lire, beaucoup lire. Mais last but not the least Eveline écrit en raison de cette rage qui l’habite depuis qu’elle a compris que seule l’écriture peut libérer l’Africain de sa « façon exagérée de vivre le monde  ». Depuis, E. Mankou écrit et sublime la réalité, encore et encore, pour changer le monde noir de façon durable. « Instinct de survie » participe de ce combat qui consiste à faire la chasse à cet homme africain de Sarkozy qui n’est pas encore entré dans l’histoire. Ce qui est rassusrant, à ce sujet, c’est que N. Sarkozy valida une image d’Epinal.

    Au fait, écrire ne valide-t-il pas une façon exagérée de vivre le réel ?

    Quelle belle raison pour entrer dans le monde des livres !

     

    http://www.jetsdencre.fr/lng_FR_srub_9_iprod_346-L-Instinct-de-survie.html

     

    http://www.afrik.com/evelyne-mankou-brise-le-tabou-du-viol

     

    http://www.amazon.fr/s/ref=ntt_athr_dp_sr_1?_encoding=UTF8&field-author=Eveline%20Mankou&search-alias=books-fr

     

     

    http://www.amazon.fr/LInstinct-survie-Eveline-Mankou/dp/2354853432/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1352409002&sr=1-1

     

     

     

     





     
     


     

    Avec Jean-Luc MELENCHON

    23/08/2012 18:26

    Avec Jean-Luc MELENCHON






     
     


     

    Dialogue imaginaire et imagé entre la mère et le foetus

    08/07/2011 17:18

    Dialogue imaginaire et imagé entre la mère et le foetus


    Quatrième de couverture

    Jeune, dynamique, indépendante, shoppeuse compulsive, victime de sa boss, ne désespérant pas de mettre la main sur un homme, un vrai : en quelques mots, voici le portrait de l’héroïne d’Evelyne Mankou. Il convient juste d’ajouter que cette célibattante est aujourd’hui enceinte. La tuile, d’autant que l’identité du père est absolument inconnue… Il faut d’ailleurs dire que dans sa quête du prince charmant, cette femme moderne n’a pas démérité au vu des déconvenues rencontrées. Autant d’aventures amoureuses tristes, risibles, cocasses sur lesquelles elle revient lors d’une discussion à bâtons rompus avec un fœtus qui l’accompagne dans son bilan de vie…
    L’homme idéal: mythe ou réalité? La perle rare existe-t-elle ou chaque homme recèle-t-il une faille? Ces interrogations parcourent le dialogue original mis en scène par Evelyne Mankou, mais débouchent sur des constats qui dépassent les simples relations hommes-femmes, et engagent la société entière. On découvre à travers ce texte dont la tonalité oscille entre légèreté et dépit, une chick lit raisonnée qui appelle à dépasser les clivages sexuels. Jeune, dynamique, indépendante, shoppeuse compulsive, victime de sa boss, ne désespérant pas de mettre la main sur un homme, un vrai : en quelques mots, voici le portrait de l’héroïne d’Evelyne Mankou. Il convient juste d’ajouter que cette célibattante est aujourd’hui enceinte. La tuile, d’autant que l’identité du père est absolument inconnue… Il faut d’ailleurs dire que dans sa quête du prince charmant, cette femme moderne n’a pas démérité au vu des déconvenues rencontrées. Autant d’aventures amoureuses tristes, risibles, cocasses sur lesquelles elle revient lors d’une discussion à bâtons rompus avec un fœtus qui l’accompagne dans son bilan de vie…
    L’homme idéal: mythe ou réalité? La perle rare existe-t-elle ou chaque homme recèle-t-il une faille? Ces interrogations parcourent le dialogue original mis en scène par Evelyne Mankou, mais débouchent sur des constats qui dépassent les simples relations hommes-femmes, et engagent la société entière. On découvre à travers ce texte dont la tonalité oscille entre légèreté et dépit, une chick lit raisonnée qui appelle à dépasser les clivages sexuels.

     Pour plus d'information sur cet article

    http://www.amazon.fr/Dialogue-Imaginaire-Image-Entre-Foetus/dp/1291466541/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1373044821&sr=8-1&keywords=dialogue+imaginaire+et+imag%C3%A9+entre+la+m%C3%A8re+et+le+foetus

     

    http://www.amazon.fr/Eveline-Mankou/e/B005DICEUS/ref=ntt_dp_epwbk_0

    emankou@yahoo.fr

    Google/eveline-mankou

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     





     
     


     

    Eveline Mankou - Rhode Bath Sheba Makoumbou

    26/04/2011 23:43

    Eveline Mankou - Rhode Bath Sheba Makoumbou






     
     


     

    Avec les drôles de dames

    11/04/2011 11:25

    Avec les drôles de dames


    Par Monique-Rachel Kesseng – journaldebrazza.com

    Écrivaine congolaise, l’auteure en est à sa quatrième publication «L’Instinct de survie», aux Editions Jets d’Encre, où elle parle du viol et de la souffrance des albinos. Entretien.

    Pourrais-tu te présenter pour les lecteurs de journadebrazza.com ?

    Je m’appelle Eveline Mankou, je suis née à Dolisie au Congo. J’ai passé mon enfance et mon adolescence à Brazzaville, d’où je suis partie en 1996, juste après le Bac pour Abidjan en côte d’ivoire, où j’ai passé 3 ans dans une école de commerce, après je suis arrivée en France, à Nice en 1999

     

    Pour poursuivre tes études ?

    Pour la découverte et pour chercher également la stabilité ailleurs, parce que le Congo n’était pas un pays très stable dans les années 90. Je suis restée à Nice jusqu'en 2005, l’année où ma première nouvelle a été publiée et puis j’ai eu la bougeotte, j’ai ressenti le besoin de découvrir un peu, j’ai commencé à voyager et je suis tombée amoureuse de Londres où je passe beaucoup de temps

     

    L’instinct de survie n’est pas ton premier ouvrage - Combien d’écrits as-tu publié avant?
    Ma première nouvelle La patience d’une femme a été éditée à Nice en 2005. C’est un peu autobiographique, mais pas tout à fait – En réalité je ne suis pas très patiente comme femme (Rires Ndlr) j’apprends à le devenir. C’est une histoire qui peut concerner toutes les femmes. L’héroïne est une femme, c’est un modèle de courage et les femmes surtout africaines sont très courageuses, elles savent endosser les choses. Le thème de ce livre est autour de l’immigration et des difficultés en Afrique. S’en est suivi un deuxième en 2010 - ça aurait pu être le même en fait puisse qu'il tourne aussi autour de l’immigration – C’est un recueil de dix nouvelles intitulé: La misère humaine, à savoir qu'est-ce qui pousse les africains à quitter le continent et aller chercher la vie ailleurs ? Et Comment ils vivent une fois qu'ils sont arrivés dans cet ailleurs

     

    Pourquoi cette emphase sur le thème de l’immigration ?

    Déjà en tant qu'immigrée, quand on arrive - celui que l'on trouve - le voisin, ou l’autochtone… il ne vous comprend pas, il se contente de ce qu’il voit à la télévision ou de ce qu'il entend. C’était une manière pour moi de dire voilà pour ceux qui veulent comprendre pourquoi je suis venue, lisez un peu pour voir

     

    C’était donc une sorte d’exutoire?
    C’est un peu abusé de parler d’exutoire, parce que mes nouvelles restent de la fiction, ce ne sont pas des histoires réelles. C’est vrai que quand on me lit, on peut avoir l’impression que ce sont des témoignages, mais pas du tout ! Les personnages n’existent pas, c’est de la fiction, basée sur des faits qui peuvent être réels

     

    Et ton aventure littéraire ne s’arrête pas là…
    Effectivement. En 2011, j’ai censuré, je me suis dit que j’avais dit ce que j’avais à dire sur ce thème de l’immigration et que je devais passer à autre chose, être un peu «folle» et donc j’ai fait parler un fœtus, dans dialogue imaginaire et imagé entre la mère et le fœtus

     

    On reste néanmoins toujours dans un registre et des thèmes qui font appel à l’affect pourquoi ?
    Parce que quand j’observe la société, je suis complètement touchée, je ne suis pas insensible et du coup, j’ai envie - peut-être pas de faire changer les choses, parce que un seul doigt ne peut pas nettoyer le visage - mais j’ai envie d’être parmi les cinq doigts qui vont nettoyer le visage. J’aime bien l’effet réel. Du coup: dialogue imaginaire et imagé entre la mère et le fœtus. Qui parle d’une jeune femme trentenaire – qui pourrait être moi aussi, (Rires Ndrl.) Cette femme n’a pas de couleur, c’est une femme actuelle du 21e siècle, qui doit savoir tout faire. Etre belle, intelligente, se marier, élever des enfants… Ce n’est pas évident parce que ce n’est pas un robot et elle est enceinte. C’est pour mettre un peu ces difficultés en exergue, je fais parler le fœtus

     

    Qu'est-ce qui te passionne dans l’écriture?
    J’écris parce que c’est une sorte de thérapie personnelle, parce que, ce que je ne peux pas dire, je l’écris. «J’apprends à parler» et ça n’a pas toujours été le cas. L’écriture est aussi un moyen d’exorciser, un cri du cœur, un moyen d’expression. Mais c’est également une passion que je nourris depuis mon adolescence

     

    Parlons de «L’Instinct de survie». J’avoue que j’ai personnellement beaucoup aimé l’intrigue. Qui est Mady?
    Mady n’existe pas. Cette fillette représente toutes les petites filles qui se font violer en Afrique, surtout en RDC, où on entend beaucoup parler de nombreux viols ces derniers temps. Ou en Inde où un cas de viol a récemment fait la Une de l’actualité… Mady ça peut être toutes ces filles

     

    Dans cette nouvelle tu parles du viol, de la stigmatisation des albinos, du bannissement par la famille etc… des pratiques dont on entend encore malheureusement parler aujourd'hui et que certaines traditions ancestrales ou la superstition peuvent encourager… comment parviens tu à aborder tous ces thèmes dans une fiction?
    C’est vrai que sur cette nouvelle L’Instinct de survie, l’actualité a beaucoup joué. Il y a une anecdote sur ce livre. J’ai commencé à l’écrire à Nice en 2010, mais soudain je n’en avais plus du tout envie, l’inspiration ne venait plus. Et l’hiver dernier je suis allé à New-York avec ma sœur et dans le métro, j’ai vu un couple d’albinos qui était vraiment très beau. Et je me suis dit ce n’est pas vrai ! – quand je pense qu’en Afrique et particulièrement moi-même quand j’étais gosse, quand on voyait des albinos, c’était la panique à bord, il fallait faire des rites, arracher des cheveux, cracher par terre etc… et j’ai eu un déclic et là j’ai su comment j’allais orienter l’histoire

     

    Finalement tu fais surtout vibrer la corde sensible pour avoir de l’inspiration?
    Exactement. J’ai vu ce couple d’albinos et ça m’a parlé. Mais je m’inspire aussi beaucoup de mes souvenirs en Afrique. J’ai été élevée en partie par ma grand-mère et il y a plein de choses que j’ai reçu d’elle et ça me sert beaucoup

     

    C’était important pour toi de terminer sur une note d’espoir à la fin de cette nouvelle?
    Ma foi oui. C’est comme dans les contes de Fée, parce que même dans un malheur, il peut y avoir un côté positif, quelque chose à tirer, ne serait-ce qu’une leçon. Pour revenir à l’histoire, c’était une manière de dire qu’un albinos a d’autres problèmes plus génétiques que spirituels et qu’il peut réussir et vivre normalement comme tout le monde

     

    Tu parles aussi beaucoup de l’école. Comment peut-elle contribuer de ton point de vue à lutter contre certaines traditions bien ancrées, mais novices?
    C’est très important et la fin du livre justement le fils de Mady va construire une école dans son village. Je pense que l’école peut apporter beaucoup, sans renier la tradition africaine, il vaut peut-être aussi l’adapter parce que le monde avance. Ce livre est un appel à l’instruction, un plaidoyer pour qu'on arrête de maltraiter les albinos et dénoncer aussi le viol de femmes qui n’est plus acceptable aujourd'hui et il faut plus de voix pour le dire

     

    Est-ce que tes ouvrages sont disponibles au Congo?
    Ce n’est pas évident, surtout quand on est un auteur qui n’a pas de notoriété. Si je dois être distribué au Congo, je devrais le faire par mes propres moyens et actuellement je ne peux pas. Donc on compte sur vous pour faire passer le message

     





     
     

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