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evelinemankou

VIP-Blog de evelinemankou
  • 49 articles publiés
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  • Créé le : 27/12/2009 08:24
    Modifié : 09/11/2017 12:08

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    Avec Leonora Miano

    11/04/2011 11:20

    Avec Leonora Miano


    http://www.congopage.com/Afap-Bakento-a-organise-un-forum

    Afap-Bakento a organisé un forum sur l’entreprenariat au féminin

    • 1 sur 2
      A gauche et à droite, Eveline Mankou Ntsimba (romancière), Rhode Makoumbou, sculpteur et peintre
    • 2 sur 2
      Eveline Mankou Ntsimba exposant ses perspectives

    Quasiment un mois, jour pour jour, après la journée internationale de la femme, les Congolaises animées par l’esprit de l’entreprise se sont rencontrées samedi 9 avril 2011 au Musée Dapper dans le 16è arrondissement de Paris, à quelques mètres de l’Ambassade du Congo, rue Paul Valéry.

    D’ordinaire la notion d’entreprise, selon les clichés ancrés dans nos têtes, n’est pas affaire de femmes, surtout pas de la femme congolaise. La femme-manager ou la femme chef d’entreprise semble être perçue dans les représentations comme un contre-sens sociologique. Les préjugés ont la vie dure, dit-on. Sauf que cette fois-ci, grâce à l’initiative de la présidente de AFAP Bakento (Edrine Balandamio) on sent qu’il y a une volonté de rompre avec ce dogme antiféministe. Aussi le Musée Dapper a offert son cadre pour une interaction socio-économique. La connotation nationaliste du concept "bakento" en dit assez sur l’affirmation stigmatique identitaire des actrices.

    Autre variable stigmatique, la composition homogène des invités : uniquement les femmes. Modératrice : Laureyathe Sauget Bikouta.

    Toutes les invitées sont passées à l’estrade présenter à tour de rôle leurs actions. Feed-back oblige, chaque intervenante a été ensuite bombardée de questions par un public, manifestement, assoiffée de connaissances. Les figures de marque ayant subies les tirs croisés des questions : Rhode Makoumbou sculpteur et peintre (invitée et marraine) Eveline Mankou Ntsimba (romancière)

    Trampoline studio (Maison de production audio-visuel et site internet) représenté par Mlle Mabiala Nkouka (Infographiste) et Mlle Menga Nkouka (Architecte)

    Mlle Yana Loemba Delho (productrice, auteure d’un documentaire sur la femme entrepreneuse à Brazzaville et à Pointe-Noire) : un reportage poignant.

    Mme Marie-line Louet (poétesse) La troupe Mami Wata blues (pièce de théâtre congolaise)

    La présentation a été suivie d’une conférence-débat animée par : Mle Halimata So (chargée de mission sur le programme de promotion socio-professionnelle des migrants à l’antenne Île de France du GRDR

    Mr Yéra Dembele (responsable FAFRAD-économique)

    Andess Bakala (entrepreneuse munie d’un projet d’ouverture de société en Afrique )

    Après le débat, le Maître de conférences en Sociologie, démographie de l’Université de Paris V Sorbonne et de l’Ecole Normale Sociale (Paris), Jean Aimé Dibakana, a fait un exposé sur les femmes africaines face aux nouvelles dynamiques économiques et sociales.

    Chaque invitée a reçu, dans son domaine, un joli prix Bakento . De bons contacts ont été échangés entre les participantes. C’était aussi le but de cette plateforme au féminin.

    Invité, l’ambassadeur Henri Lopes dont la chancellerie jouxte le Musée Dapper a décliné l’invitation. Mme la ministre congolaise de la femme a également botté en touche.

    Pourquoi s’en étonner, l’éthique du Chemin d’avenir basée sur l’enrichissement illicte n’est-elle pas totalement à l’opposé de l’esprit d’entreprise quand, notamment, cet esprit vient des Congolais ?

    Eveline Mankou Ntsimba exposant ses perspectives Eveline Mankou Ntsimba exposant ses perspectives





     
     


     

    La patience d'une femme

    07/02/2011 19:46

    La patience d'une femme


    Quatrième de couverture

    La citadelle européenne qui accueille les migrants chassés de leur pays par les guerres est le théâtre d’autres douleurs dont chacun peut mesurer l’ampleur car elles font la Une de l’actualité.

    Si l’immigration dite « non choisie » est dure, c’est peut-être moins à cause de la perte des repères dont parlent les sociologues que de la dure législation sur le droit d’asile quand le demandeur, débouté, fait connaissance les lois, jadis de Charles Pasqua, aujourd’hui de Brice Hortefeux. Dans ce cas, le clandestin (qu’il soit homme ou femme) élabore des stratégies de contournement afin d’accéder à la légalité.

    Le mariage soit avec un conjoint autochtone, soit avec un(e) compatriote en « règle », fait partie de ces ruses qui permettent d’échapper à une reconduite à la frontière. Mais le mariage, institution de l’amour, peut se révéler un enfer, quand les conjoints ne sont pas dupes des raisons (vraies ou fausses) qui les ont conduits à « se mettre ensemble ».

    Au bout du compte la clandestinité, lieu de toutes les angoisses, est peut-être plus dure pour la femme que pour l’homme, car plus vulnérable, et déjà dominée dans sa propre communauté.

    Dans cette insoutenable dureté de l’exil, la prostitution représente parfois une stratégie de survie quand, justement, la femme est à bout de patience.

    Eveline Mankou essaie de conjurer le sort dans La Patience d’une femme, une Nouvelle qui fonctionne comme l’autobiographie de toutes les femmes en immigration, qui refusent de se laisser vaincre par le spleen du déracinement et décident de prendre leur destin en main.  

     

    Pour plus information

    http://www.amazon.fr/Eveline-Mankou/e/B005DICEUS/ref=ntt_dp_epwbk_0

    Google/eveline-mankou

     

     

     





     
     


     

    Avec Alain Mabanckou

    07/02/2011 19:45

    Avec Alain Mabanckou






     
     


     

    salon du livre de Mouans Sartoux

    08/10/2010 23:27

    salon du livre de Mouans Sartoux


    Les 1, 2 et 3 octobre 2010, le salon du Livre de Mouans-Sartoux (06) a donné le meilleur de lui-même dans le cadre bucolique de cette ville médiévale du moyen-pays cannois. Alors qu’il passe pour l’un des meilleurs salons littéraires de France, Mouans-Sartoux a également concentré la fine fleur de la production bibliographique régionale.

    Pétrole

    Vendredi 1er octobre, le philosophe Michel Serre a rehaussé de son prestige cet espace du savoir qui en est à sa 27 ème édition. Avec la subtilité intellectuelle qu’on lui connaît, le philosophe a procédé à des rapprochements hardis et inattendus au cours de l’agora. Exemple : alors qu’il échange avec une auteur algérienne sur le martyr des femmes sous la révolution islamiste, on vient l’interrompre parce qu’une voiture occupe l’emplacement réservé au véhicule de FR3 qui doit couvrir le salon. Michel Serre ironise sur la civilisation de l’automobile. Après tout, lâche le penseur, le plus important dans une automobile vient d’Algérie : le pétrole.

    Quelle transtion ! Deux jours plus tard, la grève des dockers marseillais qui bloquent les terminaux pétroliers nous montre à quel point l’Occident dépend de l’Afrique grâce à son or noir. François-Xavier Verschave n’a pas souligné autre chose que ce noir paradoxe des dictateurs africains qui oppriment leurs peuples au lieu de faire chanter l’Occident en le menaçant sur ce qu’il adore avec sacralité : la voiture.

    Le lecteur a compris que ce qui est important dans un salon vient non pas des livres mais des idées véhiculées à l’occasion des débats.

    Eveline Mankou Ntsimba

    Où sont les Africains du sud du Sahara ? Personne. On les cherche en vain ici à Mouans-Sartoux. Selon une rumeur, Alain Mabanckou aurait été invité. Fausse rumeur. La littérature africaine est aux abonnés absents. Le Congo, une fois n’est pas coutume, a sauvé la mise. Eveline Mankou Ntsimba est la représentante du continent. Soutenue par l’association Souffle d’Afrique du conteur, écrivain et artiste sénégalais Momar Gaye, la jeune Congolaise a exposé ses deux derniers ouvrages : « La Misère humaine  » et « Dialogue imaginaire avec un fœtus ».

    A noter que, pressentie également, l’écrivaine congolaise Liss Kihindou n’a malheureusement pas pu faire le déplacement de Mouans-Sartoux pour des impératifs professionnels. "Ce n’est que partie remise"conclue, à ce sujet, Momar Gaye, après un spectacle musical pédagogique au "Château" du village.

    Congopage a recueilli les impressions d’Eveline Manckou : « Le premier jour, c’était un peu dur car j’ai exposé mes ouvrages sous un chapiteau réservé aux livres sur la jeunesse. En revanche dimanche le salon fut fructueux de mon point de vue. J’ai vendu et ai pu avoir des contacts avec des libraires. Ainsi qu’avec la bibliothèque Louis Nucéra de Nice » commente l’écrivaine.

    Coup de chapeau à cette jeune compatriote qui ne rate aucune occasion pour donner de la visibilité à son œuvre. Elle a sur le chantier deux nouvelles qui portent, pour la première, un titre mauricebéjarien « Danseur de l’ombre  » et pour la seconde, un titre freudien : « Instinct de survie ».

    Il va sans dire que le carburant qui alimente son écriture vient de son Congo natal, un pays qui a du pétrole et des idées. Cela dit, on ne compte plus les écrivains congolais qui font parler d’eux et, par la même occasion, font parler du Congo. Le premier d’entre eux, Alain Mabanckou vient de recevoir le prix Georges Brassens avec « Demain j’aurai vingt ans ».

    Malgré le livre de la jungle que vient de signer implicitement L’homme des masse le 15 août 2010 : « Demain j’aurai cinquante ans », ce pays ne brille pas par sa maturité. Au contraire, il s’infantilise au point de confirmer après-coup que le Congo est un Etat honteux. Sony Labou Tansi, ce magma du verbe, avait trouvé le mot juste pour qualifier le Léviathan. Fort heureusement, par instinct de survie, des hommes et des femmes de lettres se battent et combattent avec les armes de l’esprit afin de redorer le blason.





     
     


     

    Salon du livre de Nice

    20/06/2010 15:48

    Salon du livre de Nice


    Avec Babette de Rozières



     
     

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