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VIP-Blog de evelinemankou
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  • Créé le : 27/12/2009 08:24
    Modifié : 09/11/2017 12:08

    Fille (0 ans)
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    Le livre Mission accomplie de Franck Cana

    24/08/2015 22:16

    Le livre Mission accomplie de Franck Cana


    Écrivain, analyste sociopolitique, homme de média, président du Cercles des Écrivains et Artistes des Afriques… quelle mission avait Franck Cana, lui qui a déjà tant dans sa besace ? Me suis-je demandé. C’est en tournant la première page de son nouvel opus qui a pour titre « Mission accomplie » que j’ai compris.

    Après une brève présentation, l’on rentre directement dans le vif du sujet de ce livre présenté sous forme d’un entretien. Quel sujet ? Le livre retrace l’histoire de l’Église évangélique. La naissance de la première Église évangélique de communauté noire à Paris. Originaire du Congo-RDC, Mathieu Kayeye apporte, non pas sans difficultés, dans les années 80 le réveil évangélique en France, où la foi catholique était dominante.

    L’Église catholique tue la foi des croyants légers. Alors jeune et encore dans son pays d’origine, Mathieu Kayeye avait l’ambition démesurée de devenir prêtre. Il ira se confier – confesser à un abbé jaloux qui va le démotiver. Il ne remplissait pas les critères d’après monsieur l’abbé. Le jeune homme, de santé fragile rencontrera bien plus tard un ami qui le conduira sur le chemin de son salut, une Église évangélique où le pasteur le guérira miraculeusement par imposition des mains. C’est ainsi se fera sa rencontre avec Dieu. Il abandonne le catholicisme comme jadis l’Allemand Martin Luther, moine catholique au départ se séparera du catholicisme, qui cache la vérité de l’Évangile pure au peuple, pour créer le protestantisme, mouvement où les fidèles pouvaient vivre leur foi, vivre la vérité selon Dieu.

    Mathieu Kayeye devient vite un chrétien fervent, puis plus tard, un pasteur puissant. Mathieu Kayeye sera donc à la tête d’une Église où des prodiges et des miracles s’opèrent. Je cite : « tous ceux qui sont venu avec un problème à l’église ont trouvé une solution », les aveugles ont vu, les boiteux ont marché, les stériles ont conçu, les chômeurs ont trouvé un emploi. Comme au Jack Pot, Mathieu Kayeye présente un Dieu « win-win » (gagnant-gagnant) à faire oublier le chemin de calvaire (les tribulations) que Christ lui-même avait traversé et dont il a fait la mise en garde dans les Évangiles de Jean chapitre 16 verset 33 et Jean 15 :20. L’église de Mathieu Kayeye à Kinshasa est puissante et riche en miracles, les fidèles, « on ne les compte plus », ils sont nombreux. Mais avec l’instabilité politique en RDC, Mathieu Keyeye a entendu la voix de Dieu qui lui donne son approbation pour quitter son pays, son appel était ailleurs, en Europe.

    Autrefois, l’Européen est allé apporter la Bible à l’Africain pour le coloniser,  ironie du sort, l’Africain, en la personne de Mathieu Kayeye ramène cette même Bible en Europe pour le réveil du vieux continent.

    Très vite, Mathieu Kayeye installe son église à Paris – Porte de Lachapelle. Le succès est au rendez-vous, car il y a de nombreuses brebis perdues dans la jungle parisienne. L’Homme de dieu y prêche les promesses de Dieu, les miracles par la Parole…

    À cause de la rébellion, des divisions, le noyau de l’église éclate. De cette séparation naitront de divers sous-groupes d’églises. Une multitude. Or la vie de disciple rime avec discipline. Il n’y a pas de réussite probante dans un projet quelconque sans la discipline, la rigueur.

    Dieu donne ses promesses, ma question : qu’a fait l’homme pour les mériter ? À bon entendeur… l’homme de peu de foi, incrédule ne comprend pas les promesses, préférant se vautrer dans l’idolâtrie. Ce n’est pas de sa faute dira-t-on, depuis Ève, l’homme a hérité de la nature du pêché et souvent se complaît à cela, oubliant voir dans certains cas, ignorant que Jésus-Christ est entre-temps venu pour restaurer tout cela.

     





     
     


     

    Pourquoi - premier livre d'Eloria M'Bassé

    13/04/2015 12:26

    Pourquoi - premier livre d'Eloria M'Bassé


    Eloria M’Bassé, de son vrai nom N’zoumba, comme ma sœur biologique, a un grand rêve : se rendre au Congo-Brazzaville et pas à n’importe quel endroit du Congo, mais dans la région du Pool d’où viennent ses ancêtres, esclaves déportés aux Antilles. On l’aura compris, Eloria M’Bassé est une jeune auteure antillaise. . . . . . . . . Lorsqu’elle me dédicace son livre dans ce restaurant de la zone piétonne à Nice, je lis dans son regard une force mais aussi une fragilité. On a qu’une seule envie : la protéger. . . . . . . . Elle est une personne authentique et cela transparaît dans ses écrits. . . . . . . . « Pourquoi », c’est le titre que l’auteure a choisi pour son premier livre paru aux éditions de l’Onde. On comprendra aussi en le lisant pourquoi ‘ce titre’. . . . . . . . C’est un récit écrit à la première personne, un témoignage raconté d’un trait. La langue est soignée, l’histoire émouvante. . . . . . . Karen la narratrice, 14 ans, rencontre Pierre-Jean, 18 ans (comment ?) . Une histoire prend vite naissance. La mère de Karen a pressenti le coup, instinct maternel et féminine oblige (une grande histoire, tragique s’annonce). Elle éloigne sa fille (brillante) de la ville, l’envoyant chez l’oncle de celle-ci dans l’espoir qu’elle oublie Pierre-Jean ce loser de première classe. . . . . . . Tant pis pour les adeptes du suspens, d’entrée de jeu, dès les premières lignes, le lecteur rentre dans l’intrigue. L’histoire se passe aux Antilles. Pierre-Jean né d’une fille/mère de 16 ans, n’a connu son père qu’à l’âge de 10 ans, à cause de la mère de son père, sa grand-mère qui avait envoyé son fils en métropole pour l’éloigner de cette paternité précoce dont, lui-même n’a appris l’existence que dix ans plus tard. . . . . . . . Karen, la narratrice, aime Pierre-Jean d’un amour aveugle. Elle lui donne tout : voiture, argent… et même sa vie. Quant à Pierre-Jean, il manifeste son amour envers sa dulcinée d’une façon étrange et malsaine. La notion de l’amour est très présente au fil des pages. S’ensuit le service militaire en Guyane pour Pierre-Jean : une autre séparation pour les deux protagonistes. . . . . . . . De retour sur l’île, les amoureux se retrouvent mais, Pierre-Jean n’est plus le même. Il est différent et prend ses distances. Il finira par trahir Karen. Puis surviendra une succession de séparations et de retrouvailles-réconciliations, comme souvent dans toute relation passionnelle. . . . . . . Karen fait preuve de beaucoup de patience mais aussi de naïveté, car il faut le dire, Pierre-Jean est son premier amour. Elle n’a connu que lui. (…) Le couple va se marier. Il s’installera en métropole et aura deux enfants, malgré une fin tragique et libératrice pour la narratrice. . . . . . . À la fin de ma lecture, je me dis que l’auteure a un avenir prometteur même si le récit laisse des zones d’ombre comme par exemple, le fait que le lecteur ne saura jamais les réelles causes de la mort de Djonny le fils de Maria.



     
     


     

    Lors de la cérémonie du prix GAFA la veille du 8 mars 2015

    17/03/2015 15:04

    Lors de la cérémonie du prix GAFA la veille du 8 mars 2015


    Le samedi 7 mars, veille du 8 mars, journée internationale de la femme, s’est tenue la remise du prix GAFA dans le 13ème arrondissement parisien. Ce prix était décerné à six categories de femmes de « distinction » d’Afrique subsaharienne et du Maghreb, chacune dans son domaine particulier, lors d’un gala haut en couleurs.

    Dans chaque catégorie concouraient 5 nominées : (1) Les femmes chefs d’entreprise (2) ; Les chanteuses (3) ; Les militantes associatives (4 ) ; Les femmes politiques (5) ; Les femmes journalistes (6) ; Les écrivaines.

    Ces femmes sont venues principalement de France, de Belgique et d’Angleterre pour représenter leur pays d’origine. Il y avait, entre autres pays, le Maroc, l’Algerie, la Tunisie, le Cameroun, le Gabon, la Casamance, la Guinée...

    On pouvait noter dans la salle la présence de notre confrère Brazza News. Le Congo était représenté par Eveline Mankou dans la categorie « écrivaines ». Auteure de plusieurs publications dont Dialogue imaginaire avec un fœtus, Eveline Mankou a concouru pour son dernier roman Elikia sur la composition duquel la critique a trouvé une évolution stylistique systémique opérant une rupture avec le genre narratif autobiographique dans lequel excellent nombre de jeunes auteurs africains. Elikia se distingue méthodologiquement de ses premières œuvres parce que l’auteur structure, cette fois, son intrigue dans la fiction pure et dure même si le profil de quelque personnage pourrait avoir des ressemblances avec des personnages congolo-parisiens existants. La critique, unanime, s’est écrié au sujet d’Elikia (Espoir en lingala) : une romancière est née, une travailleuse de l’imaginaire.

    Quand bien-même Eveline Mankou n’a pas été distinguée au cours du prix GAFA (c’est une écrivaine algérienne, Nadia Hathroubi Safsaf, 
    qui a été primée) il y a lieu de souligner la puissance de la totalité naissante de l’œuvre de cette Congolaise née en Afrique et qui passe son existence entre Nice, Londres, Paris et Bruxelles.

    L’œuvre d’Eveline Mankou élargit les voies de l’émancipation de la femme et de l’homme en général. Nous sommes loin de la pratique générale frisant la thématique « mi-putes, mi-soumises » que le département Femmes du PCT nous a montrés à l’occasion du 8 mars à Brazzaville.

    Simon Mavoula

     





     
     


     

    Elikia - Espoir nominé pour le GAFA

    22/11/2014 17:22

    Elikia - Espoir nominé pour le GAFA


    Mon livre Elikia - Espoir est nominé pour le GAFA (Gala de la Femme Africaine) dans la catégorie ECRIVAINE. Les votes du public commencent du 15 décembre au 28 prochain. Je compte sur vous pour  voter sur le site GAFA (Gala de la Femme Africaine) (uniquement du 15 au 28 décembre 2014) dans la catégorie écrivaine, vous trouverez mon nom. 
     
    Egalement vous cliquerez sur la mention j'aime (à côté de mon nom ou ma vidéo qui sera publié sur la page Facebook du GAFA  du 15 au 28 décembre (pour les Facebook user). 
     
    ATTENTION, notez que, si vous votez dès maintenant pour quelqu'un d'autre, vous ne pourriez plus avoir la possibilité de voter pour moi, car on ne vote qu'une seule fois. 
     
     
    MERCI, THANK YOU, DANKJEWEL, MATONDO, GRAZIE, GRACIAS




     
     


     

    Avec Lilian Thuram au festival du livre de Mouans Sartoux

    08/10/2014 00:26

    Avec Lilian Thuram au festival du livre de Mouans Sartoux


    Les 4-5 et 6 octobre 2014, une pause Littéraire s’est imposée au festival du livre de Mouans Sartoux.

    A environ une heure de Nice, la ville de Mouans Sartoux accueille pour son festival chaque année depuis 1988 plus de 50 000 visiteurs qui viennent chaque année pour rencontrer 350 auteurs.

    L’Afrique a réussi à se faire une place de choix à ce festival devenu l’un des plus grand de France. Cette année, les auteurs présents : Eveline Mankou, Liss Kihindou, Théodora Penda, Isaac Coulibaly, Jean Philippe...

    Le stand Souffle d'Afrique avec le Grand Momar Gaye a porté haut les couleurs de notre cher beau continent. Avec une Invitée surprise, la Grande Abahia Africa, la belle expression de générosité, une femme de Cœur.

    Grand merci à Nord - Sud développement précisément à Basile. 

    Les dédicaces ce sont succédées, trois jours intenses et riches en rencontres, en échanges, en animation avec entre autre le brillant entretien de Lilian Thuram. 

    Le samedi, après-midi, un pot d’amitié a été offert à tous ceux qui ont visité le stand.





     
     

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